Bonjour à tous.

Je ne sais pas vous, mais quand je fais le diagnostic littéraire du manuscrit d’un élève ou d’une cliente privée, je ne supporte plus les gros paragraphes.

Les pavés énormes qui courent sur une, voir deux pages ! Je leur fais la guerre !

Je veux des petits paragraphes, qui permettent au texte de respirer, à l’œil de s’accrocher, et pas ces falaises de signes à la Proust qui m’écrasent et m’enferment.

D’où ça vient, à votre avis ?

Influence américaine (encore ?), influence du copywriting, influence des blogs et des réseaux sociaux ?

Suis-je le seul à avoir une telle phobie ?